Jean Chrétien doit accepter la responsabilité de la participation canadienne à la guerre d'Irak.
Ce souvenir impérissable de Jean Chrétien pratiquant la stratégie des deux fers au feu dans les années 90. D'un côté, il respectait des engagements militaires avec les Américains et les Britanniques et de l'autre, il menait secrètement une action
parallèle allant à l'encontre de la dynamique internationale et de la réalité sur le terrain.
Enfin, les Américains ont mis un terme aux opérations de désinformation du gouvernement du Canada et de Jean Chrétien grâce à Paul Cellucci, représentant du gouvernement américain, en déclarant ceci : « L’ironie de la situation, c’est qu’
en raison de la présence de ses navires dans le Golfe persique, le Canada apporte
indirectement plus de soutien militaire dans cette guerre en Irak que ne le fait la majorité des 49 pays membres de la coalition. »
De plus le lieutenant-colonel britannique Ronnie McCourt, lorsque interviewer au Qatar par le réseau anglais de Radio-Canada qui lui posait la question : « est-ce que les militaires canadiens risquent d’être blessés ou tués ? », a déclaré : «
oh ! Oui, ils sont au combat ».
Une deuxième source militaire britannique a déclaré au quotidien Ottawa Citizen : « Il y a des officiers canadiens qui sont déployés sur le théâtre des opérations au sein d’unités britanniques. Ils travaillent actuellement avec les unités
britanniques, probablement au sud de l’Irak. Ils sont d’ailleurs exposés aux mêmes dangers que nos propres troupes. »
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